Statistics

Selon l’ONU commerce et développement, une analyse statistique des progrès inégaux réalisés par le monde pour parvenir une prospérité partagée sur une planète durable d'ici 2030.

La transformation numérique a un impact profond sur la production et la consommation de biens et services créatifs, générant des opportunités pour certains et des défis pour d'autres.

La croissance a été tirée par le dynamisme du commerce avec les États-Unis et les pays en développement, ainsi que dans les secteurs liés à l'énergie verte et à l'intelligence artificielle.

L'aide aux objectifs de genre est passée de 26 à 52 milliards de dollars en dix ans, principalement par le biais de prêts et de projets où l'égalité était un objectif important, mais pas primordial.

Les économies en développement ont vu leur part augmenter dans le commerce global, devenant des acteurs clés des chaînes de valeur mondiales. Mais l'augmentation des émissions de CO2, la dépendance persistante à l'égard des produits de base et l'accroissement de la dette publique sont des questions qui nécessitent une attention urgente.

Pour la première fois, des données dévoilent les coûts commerciaux par pays, par marchandise et par mode de transport, offrant ainsi des informations cruciales sur les dépenses d'importation et d'exportation à l'échelle mondiale.

Des facteurs autres que les déterminants économiques influencent de plus en plus les décisions d'investissement, laissant de côté les économies plus petites et entravant le développement basé sur l'IDE.

Pour la troisième année, la croissance restera sous les niveaux pré-pandémie, marquant l'urgence de mettre en œuvre des réformes et une coopération globale face aux défis commerciaux, climatiques et aux inégalités croissantes.

La coordination des politiques au niveau mondial reste essentielle pour préserver l'économie mondiale face à l'évolution de la structure des échanges, à l'explosion de la dette et à la crise climatique qui frappe durement les pays en développement.

En 2022, les prêts d'APD ont augmenté de 11 % pour atteindre 61 milliards de dollars, tandis que les dons ont diminué de 8 % pour atteindre 109 milliards de dollars - un changement qui pourrait alourdir le fardeau de la dette des pays en développement.